Roland Kaiser — Paroles et traduction des paroles de la chanson Santa Maria

La page contient les paroles et la traduction française de la chanson « Santa Maria » de Roland Kaiser.

Paroles

Santa Maria, Insel, die aus Träumen geboren,
Ich hab' meine Sinne verloren, in dem Fieber, das wie Feuer brennt.
Santa Maria, nachts an deinen schneeweißen Stränden
Hielt ich ihre Jugend in den Händen,
Glück, für das man keinen Namen kennt.
Sie war ein Kind der Sonne, schön wie ein erwachender Morgen.
Heißwar ihr stolzer Blick, und tief in ihrem Inner’n verborgen
Brannte die Sehnsucht,
Santa Maria, den Schritt zu wagen, Santa Maria,
Vom Mädchen bis zur Frau.
Santa Maria, Insel, die aus Träumen geboren,
Ich hab' meine Sinne verloren, in dem Fieber, das wie Feuer brennt.
Santa Maria, ihre Wildheit ließmich erleben,
Mit ihr auf bunten Flügeln entschweben
In ein fernes, unbekanntes Land.
Wehrlos trieb ich dahin, im Zauber ihres Lächelns gefangen.
Doch als der Tag erwacht', sah ich die Tränen auf ihren Wangen,
Morgen hießAbschied.
Santa Maria, und meine Heimat, Santa Maria, war so unendlich weit…
Santa Maria, Insel, die aus Träumen geboren,
Ich hab' meine Sinne verloren, in dem Fieber, das wie Feuer brennt.
Santa Maria, niemals mehr hab' ich so empfunden,
Wie im Rausch der nächtlichen Stunden,
Die Erinn’rung, sie wird nie vergeh’n.

Traduction des paroles

Santa Maria, Île née de rêves,
J'ai perdu mes sens dans la fièvre qui brûle comme le feu.
Santa Maria, la nuit sur tes plages blanches comme neige
Je tenais leur jeunesse dans les mains,
Le bonheur pour lequel on ne connaît pas de nom.
Elle était une enfant du soleil, belle comme un matin de réveil.
Chaud était son regard fier, et profondément caché dans son intérieur
Brûlé le désir,
Santa Maria, oser le Pas, Santa Maria,
De la fille à la femme.
Santa Maria, Île née de rêves,
J'ai perdu mes sens dans la fièvre qui brûle comme le feu.
Santa Maria, sa sauvagerie m'a fait vivre,
Désosser avec elle sur des ailes colorées
Dans un pays lointain et inconnu.
Sans défense, j'y suis allé, pris dans la magie de son sourire.
Mais quand le jour s'est réveillé, j'ai vu les larmes sur ses joues,
Demain s'appelait Au revoir.
Santa Maria, et ma patrie, Santa Maria, était si infiniment loin…
Santa Maria, Île née de rêves,
J'ai perdu mes sens dans la fièvre qui brûle comme le feu.
Santa Maria, je n'ai plus jamais ressenti cela,
Comme dans L'ivresse des heures nocturnes,
L'évocation, elle ne passera jamais.